Marcoussis rando du 16 jun 2022

Publié le 19 juin 2022 par Rando'Ball

Gymnase de Ballancourt 8H30. Tout le monde est à l'heure. Rarement nous avons laissé des randonneurs sur place parce qu'ils étaient en retard. Les Rando'Balleurs sont ponctuels.

Je donne comme d'habitude les consignes car nous sommes en vigilance canicule et et je m'assure que tout le monde à pris ses précautions, liquide et chapeau. Le lieu de rendez-vous est Briis sous Forge devant l'église.

Arrivés sur place, sur quatre voitures nous sommes les seuls. Michelle me dit que je leur ai indiquer le mauvais lieu de rdv, effectivement nous sommes à Fontenay les Briis et non pas à Briis sous forges. Domi les rappelles au tel et tout le monde nous rejoint.

Nous pouvons démarrer avec une demi-heure de retard et je démarre la randonnée par une montée direction Mulleron et la ferme de Marivaux.

Pour cette matinée nous ne sommes pas trop accablé par le soleil et nous arrivons en lisière de bois où nous sommes à l’ombre dans « le bois du déluge ». Effectivement les sentiers que nous empruntons sont secs mais ravinés voire défoncés à certains endroits, le bitume arraché, mais comme partout il n’y a pas que les intempéries les véhicules de loisirs y sont aussi pour quelque chose……

La première pose de mi-journée nous la faisons a l’ombre .Traversée du parc des Célestins Marcoussis, dans le Hurepoix, commune au nom délicieux traversée par une rivière au nom curieux, la Salmouille, affluent de l’Orge, un ruisseau « parsemé d’étangs et de mares »,

Celui-ci prend source à Gometz la ville pour ce jeter 17 kms plus loin à Brétigny dans l’Orge. Aux étangs du Carouge, celui-ci serpente dans Marcoussis, le chemin est bien aménagé La Salmouille irriguait les douves de l’ancien château de Montagu et sa vallée le château de Montagu qui fut rasé en 1805 pour que ses restes ne deviennent pas prison d’État

Nous arrivons dans le parc de Bellejame où nous en profitons pour faire la pause pique-nique. Nous aurions aimé le faire sur les pelouses derrière la grille mais on se contentera d’un espace en sous-bois effectivement derrière la grille le centre de la FF rugby à première vue très bien entretenu.

Nous redémarrons notre deuxième partie de randonnée après être passé sous la Francilienne, une montée nous attends.

Il commence à faire chaud, tout au long plusieurs arrêts pour ce réhydrater seront les bienvenus nous longeons une partie des murs de l’autodrome de Monthléry.

En 1924, après la création des pistes de Brooklands (1906), Indianapolis (1908), Monza (1910) et Miramas (1923), un industriel, M. Alexandre Lamblin, eut l’idée de doter d’un autodrome la région parisienne, à cette époque l’un des principaux centres de l’industrie automobile française.

Dès sa mise en service le 4 octobre 1924, cette nouvelle piste devait se révéler l’une des plus rapides du monde. Plus de cent records y étaient battus ou établis deux mois seulement après son ouverture.

En décembre 1946, l’Union Technique de l’Automobile, du Motocycle et Cycle (U.T.A.C.) obtient du ministère de la guerre, en vertu d’un bail de longue durée et contre le versement d’une redevance annuelle à l’administration des Domaines, la gérance civile des pistes et installations de l’Autodrome, moyennant sa remise en état et son entretien.

L’autodrome est enclavé dans le camp militaire de Linas-Montlhéry.

Dernière montée Claudine, comme il disait depuis le départ. Nous voila sur la roche Turpin tout droit avant une dernière pause au croisement de la route de Diane et de la route Cardon.

Passage devant les prairies de la ferme de QUIMCAMPOIS et nous revoilà a Fontenay les Briis. J’ai bien dit Fontenay les Briis. Notre débriefing se fera comme nous aimerions que finisse chacune de nos randos, par un pot offert par notre amie Michelle que je remercie pour ce moment de convivialité qui nous est chère au club…