TOUR DE LA VIERGE (Mardi.am)

Mardi après-midi, malgré la pluie qui menace, nous sommes prêts à partir pour cette boucle de 10,9 km en Forêt de Fontainebleau. Nous sommes 25 randonneurs au départ du parking à l’entrée d’Arbonne-la-Forêt. En l’absence du serre-file titulaire c’est Jacques qui ferme la marche.

Après une petite mise en jambe dans la traversée d’Arbonne la forêt, on entre dans la forêt au moment où débute une petite averse qui ne durera que 5 minutes. On emprunte le chemin des Mariniers avant de prendre un sentier de traverse pour attaquer la première montée de l’après-midi pour arriver à la ligne de crête en direction de l’objectif de cette randonnée. La tour de la Vierge, on l’a souvent vu d’en bas, du monument des fusillés, on en a souvent parlé mais on n’y était jamais monté.

Durant la montée, un randonneur a été pris d’un malaise.

Notre serre-file Jacques l’a pris en charge. N’étant qu’à 2 km du départ, il a été décidé de le raccompagner au point de départ, avec l’aide de Michel. Laurent prend la relève du serre-file pour la suite de la randonnée.

On descend par un chemin escarpé jusqu’à la Plaine de Chanfroy. Au début de la Route de la Goulotte on passe sous l’aqueduc de la Vanne et du Loing pour attaquer la deuxième côte avant de tourner plein nord sur le Chemin des Pieds Pourris. On passe les Roches de Milly troisième côte jusqu’au Carrefour de la Louve. Sur le chemin de liaison on fait un petit détour par le Point de vue de Hurlevent qui nous offre l’arrière-plan de notre photo de groupe.

Avant de rejoindre la Route des Gorges de Franchard il faut franchir le Rocher des Hautes Plaines quatrième et dernière difficulté de la journée. L’étroit sentier de liaison en descente présente un beau paysage de sous-bois avec de belles étendues de fougères dorées au milieu d’un chaos. Retour vers Arbonne-la-Forêt sur un chemin d’exploitation juste avant le coucher du soleil.

Nous retrouvons Jacques, Michel et notre randonneur qui avait repris ses esprits.

Merci à Jacques et à Laurent mes serre-files, à Gérard qui m’a accompagné pour la reconnaissance. Un grand merci à Michel qui a accepté d’accompagner Jacques et notre malade.

Jean-Georges