Le Vaudoué randonnée du 9-12-2021
Après deux annulations, une pour cause de confinement, l’autre suite à des chutes de neige nous obligeant à nous rabattre sur une randonnée disponible au départ de Ballancourt-sur-Essonne, nous voilà au départ de cette randonnée dont la boucle part de Noisy-sur-Ecole et non du Vaudoué pour assurer un retour en dehors de la forêt domaniale des Trois-Pignons en cas de rentrée tardive. Nous sommes 13 randonneurs au départ du parking des Trois Pignons ce jeudi matin.
Nous partons pour une boucle d’une vingtaine de kilomètres en très grande majorité dans la forêt, ce qui nous protégera du vent très frais de cette journée de décembre.
En sortant du parking nous empruntons le chemin de la Plaine de Jean des Vignes jusqu’au Carrefour des Guetteurs où nous bifurquons pour traverser les Sables du Cul du Chien, désert en cette fin d’année. Nous descendons en direction du Vaudoué pour contourner le Rocher Guichot.
Pour aller à Achères-la-Forêt, nous suivons successivement le chemin de la Mée, le chemin de Melun au Vaudoué, le chemin de la Sambine jusqu’à l’orée du bois, au carrefour du Rotoir aux Merles nous longeons le domaine du Bois de la Garenne. Nous entrons dans Achères-la -Forêt en traversant le Domaine Defontaine. Nous avons prévu de manger à Meun que nous atteignons après avoir traversé la plaine à la sortie d’Achères-la-Forêt bien nommée : “ le Moulin à Vent ”.
« Le hameau de Meun, sur la commune d’Achères-la-Forêt, abrite en son cœur une formation géologique remarquable constituée d’une platière gréseuse. C’est une dalle de grès apparente, fissurée par endroit, elle est recouverte çà et là d’un sol mince et pauvre où s’est installé une mosaïque de milieux naturels qui abritent une faune et une flore caractéristique. En bas de la platière, la roche imperméable et l’argile permettent à l’eau de pluie qui ruisselle sur la dalle de s’accumuler et de former ainsi la mare du Marchais. Autre spécificité, une source profonde émerge à l’angle des jardins à coté du pont et permet à la mare de ne jamais s’asséchée. La mare du Marchais constituait une ressource précieuse en eau pour les lavandières et les habitants des communes voisines. »
En arrivant à la table de pique-nique, nous sommes accueillis par une troupe de canard colvert et deux canards de Barbarie.
Tout d’abord, ils ont convoité le sandwich de Denise et ne nous ont pas quittés pendant toute la pause déjeuner.
Nous repartons vers le-Vaudoué en traversant la Montagne Blanche. Nous traversons le bourg de Noisy-sur-Ecole avant de rejoindre nos voitures.
Malgré des prévisions météorologiques mauvaises, nous aurons profité d’une journée agréable si l’on oublie la température fraiche du petit matin.
Merci à Jean-Luc, mon serre-file, mais aussi Guy et Alain pour la reconnaissance du parcours.
Jean-Georges